16 mars 2013
La voix du poème
Printemps des poètes, et pourtant je n'entends que pluie, gargouillis de gouttières à la radio et alentour...
Autant écouter la pluie, le grésil qui tambourinent, qui s'insinuent dans la moindre anfractuosité.
Et puis lire un poème à voix haute, rien que pour soi, l'entendre vivre en écho dans la pièce.
Le poème va du creux au creux : du creux de la bouche au creux de l'oreille.
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